TÉMOIGNAGES – Il est passé de 14 à 28 jours après la naissance de l’enfant. Une option qui ne fait pourtant pas l’unanimité.
C’est une petite révolution en matière de politique familiale, portée par l’émergence d’une génération de jeunes pères désireux d’être plus présents auprès de leurs bébés. À partir du 1er juillet, le congé paternité passe de 14 à 28 jours, dont 7 obligatoires après la naissance de l’enfant. Une «chance» pour Léonard, 30 ans. Ce cadre parisien fera partie des premiers pères à en profiter après la naissance de son premier enfant, prévue en août.
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Va-t-il hésiter à mettre de côté ses responsabilités professionnelles quelques semaines pour pouponner? «Bien sûr que non, lance-t-il comme une évidence. Cela me semble indispensable de soutenir ma femme après l’épreuve physique et émotionnelle de l’accouchement, de l’aider à surmonter les difficultés du post-partum. J’ai aussi envie d’être là pour apprendre à connaître notre bébé.» Sa seule interrogation porte sur la répartition des 28 jours du nouveau congé paternité, à prendre dans les six mois qui suivent la naissance.«Je vais réfléchir avec ma
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