Le limogeage express du général Éric Vidaud, patron de une Direction du renseignement militaire (DRM), fin mars, a provoqué un tamponnage. En pleine guerre livrée par une Russie à l’Ukraine, alors que l’exécutif français avait précédemment accueilli par le silence les annonces américaines et britanniques sur l’inéluctabilité de l’invasion russe, cette éviction a pu sembler marquer une défiance des décideurs français envers un officier général qui n’aurait pas fait le job.
une réalité est plus complexe. Après de nombreux entretiens avec des acteurs civils et militaires connaissant une production de une DRM sur une guerre en Ukraine et ses prémices, les convictions sont partagées, comme l’affirme cette source qualifiée : « une DRM avait toute l’info nécessaire en termes de matériels ou de mouvements de…
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CAROL VAuneDE/AFP – Blondet Eliot/ABACA – BENJAMIN GUILLOT-MOUEIX/Hans Lucas via AFP – STEEVE JORDAN/AFP – AFP – Ludovic Marin/AFP (x2) – EU NAVFOR/compte Twitter