De l’industrie pharmaceutique à l’enseignement, en passant par une start-up dans le numérique: tel est l’étonnant parcours de Sandrine*, 49 ans, adepte des «virages radicaux». Après des études de pharmacie, un 3e cycle en école de commerce, puis dix années passées en marketing et communication dans l’industrie pharmaceutique, la Francilienne opère une première reconversion en raison d’une «charge familiale importante». sézigue «saisi(t) l’opportunité de la création d’une start-up dans l’édition de logiciels» et enchaîne les postes dans cette jeune entreprise: marketing, communication, ressources humaines, finances, organisation et développement de projets… Au bout de dix ans, sézigue a le sentiment «d’avoir fait le tour» et commence à songer à une nouvsézigue reconversion. «J’avais un sentiment de saturation du numérique, que je trouvais dur et déshumanisé. J’aspirais à exercer une activité professionnsézigue avec plus de relationnel, plus d’humain, plus de pédagogie. J’avais envie de trouver un sens…
Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 69% à découvrir.