TÉMOIGNAGES – Bien qu’elles soient pro-vaccins, on leur déconseille la piqûre : femmes enceintes, personnes allergiques ou aux conditions de santé particulières s’inquiètent de devoir multiplier les tests.
«Dans les prochains jours, des clarifications seront données pour qu’elles ne soient pas pénalisées», a promis le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, invité de France Info ce lundi 19 juillet. «Elles», ce sont notamment les femmes enceintes ne pouvant se faire vacciner au premier trimestre de grossesse, les personnes allergiques au vaccin, ou présentant d’autres situations de santé particulières (troubles de la coagulation, personnes très immunodéprimées, par exemple). Une semaine plus tôt, l’annonce de l’extension du passe sanitaire à de nouveaux lieux avait saisi d’effroi ces personnes, pour la plupart favorables au vaccin, mais ne pouvant se faire vacciner pour l’instant pour des raisons de santé.
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C’est le cas de Laure, la vingtaine, enceinte de son premier enfant. «Les vaccins, cela fait un bout de temps que j’attendais cela ! Pour moi, c’est la seule solution pour sortir de cette crise», témoigne-t-elle. Mais lorsque les vaccins commencent à être ouverts à toutes les personnes
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