Le 3 février 2017, un Égyptien attaquait à la machette des militaires de Sentinelle patrouillant au Louvre, à Paris.
L’attentat islamiste, le 3 février 2017, fut le premier d’une série de six attaques perpétrées cette année-là contre les forces de sécurité intérieure (policiers, gendarmes, militaires de Sentinelle). Abdallah el-Hamahmi, Égyptien de 33 ans, comparaît à partir de lundi, jusqu’au 24 juin, devant la cour d’assises spécialement composée. Il est jugé pour «tentative d’assassinats terroriste sur personnes dépositaires de l’autorité publique» et «association de malfaiteurs terroriste criminelle».
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Le vendredi 3 février 2017, peu avant dix heures du matin, Abdallah el-Hamahmi pénètre au Carrousel du Louvre. Des militaires du 1er régiment de chasseurs parachutistes lui demandent d’ouvrir ses deux sacs. Hurlant «Allah akbar», l’homme les attaque aussitôt avec une machette dans chaque main. Il veut frapper un premier soldat, qui le repousse, puis en agresse un second, qui chute et est légèrement blessé au cuir chevelu. Le terroriste est alors atteint de plusieurs tirs de riposte. Grièvement blessé,
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