La «ville» roulante qui va sillonner le pays pendant trois semaines sera placée sous haute surveillance.
Assurer la protection d’une véritable «ville» roulante filant à plus de 40 km/heure à travers le pays pendant trois semaines. C’est le défi que les forces de l’ordre vont relever le long de 3.414,4 kilomètres du parcours de la 108e édition du Tour de France reliant Brest, ville du départ de la compétition cycliste samedi, jusqu’au traditionnel sprint final le 18 juillet sur les Champs-Élysées.
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«À la différence d’une enceinte de football, la spécificité du Tour réside dans son itinérance le long d’étapes allant de 100 à 200 kilomètres, soit 200 à 400 kilomètres de voie linéaire si l’on considère les bords gauche et droit de la route», explique au Figaro le commissaire Christophe Urien, chef de la «mission police» du Tour de France. «Chaque jour, nous allons veiller sur un village ambulant de 3.500 à 4.000 permanents, suivi par un public équivalent à celui d’un stade bien garni.»
Pour cet exercice de haute voltige, pas moins de 14.000 gendarmes – dont la Grande Boucle est une mission «historique»
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